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Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon - Janvier 2012

Direction : Philippe Forget

Scénographie : Amélie Kiritze Topor
Costumes : Florence Gil
Lumières : Romuald Valentin
Collaboration mouvements chorégraphiques : Dominique Genevois

Rosalinde : Claire Nicolas / Carole Porrier
Gabriel von Eisenstein : Samy Camps / Mathieu Gardon
Dr Falke: Benoît Descamps
Adèle : Anaïs Vintour / Violaine Le Chenadec
Orlofsky : Alhima Mhamdi
Alfred : Davy Cornillot
Franck : Nicolas Josserand
Dr Blind : Mathieu Gardon / Samy Camps
Ida : Ismène Lenfant / Aline Maalouf
Frosch : Guillaume Frey

Cathia Lardeaux / Alix Leparoux / Isaiac Cunha / Florent Karrer

Die Fledermaus, farce tragique … ou La vengeance de la chauve-souris … La vengeance de Falke ou la descente aux enfers d’Eisenstein. 

Die Fledermaus est avant tout une farce … La farce est là, certes, mais elle n’est que le point de départ et le fil conducteur d’une vengeance amère. Falke, avec l’aide de son ami le Prince Orlofsky revient le temps d’une soirée, méticuleusement préparée depuis des années, se venger d’une profonde humiliation vécue il y a plus de dix ans. 

Nous avons travaillé avec Amélie Kiritze Topor sur l’utilisation du lieu proposé, ici un auditorium. Il ne s’agît pas d’une vraie scène de théâtre ou d’opéra … que faire de cette large cage de bois non démontable ? La masquer artificiellement ? Faire comme si elle n’existait pas ? Difficile, puisqu’elle est l’identité même du lieu … Il était plus important d’utiliser ce lieu et non d’en faire abstraction. Il n’y a pas de fosse d’orchestre … où mettre l’orchestre ? 

 

Transposer alors l’action dans un lobby d’hôtel a été l’évidence. Un vaste lieu de froideur, de passage, de rencontres, de mondanités avec ses boiseries, ses différents espaces et …  son orchestre. 

Falke, metteur en scène de la soirée loue un hôtel et engage des comédiens afin de mettre en œuvre sa vengeance. Voilà le point de départ.  

Les textes parlés ont été réécrits à partir de la pièce de théâtre originale, Le Réveillon de Meilhac et Halévy, présentée au théâtre du Palais-Royal en 1872.

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